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A-Cat Virus - Testimonies of sailors

Attention danger ! This highly contagious virus results in uncontrollable addiction to speed, skimming and flying over water. Each time, the transmission vector’s form is an ordinary single handed 18 feet catamaran. In France as well as abroad, some sailing figures were touched irreversibly. Here are their testimonies as well as those of modest practitioners that the disease also contaminated.

Attention danger ! This highly contagious virus results in uncontrollable addiction to speed, skimming and flying over water. Each time, the transmission vector’s form is an ordinary single handed 18 feet catamaran. In France as well as abroad, some sailing figures were touched irreversibly. Here are their testimonies as well as those of modest practitioners that the disease also contaminated.

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Jean Darnaude

Membre depuis 2007 - EV Rochelaise

J'ai découvert le bateau A en 2006, suite à l'achat d'un Classe A par mon père qui cherchait un bateau solitaire et performant. J'ai commencé à faire quelques régates en parallèle des saisons habituelles sur Hobie cat 16. Puis en 2007, par difficulté de trouver un équipier, je me suis lancé dans une saison complète où j'ai réussi à faire une 13ème place au championnat de France. J'ai continué dans cette série car le bateau a des performances exceptionnelles, où il est possible de le faire évoluer en permanence, de l'adapter selon son gabarit et sa manière naviguer. En effet, à l'époque je pesais 55kg et ce n'était pas réellement un problème avec un bateau bien préparé. Le matériel mis à disposition des constructeurs est presque sans limite. Enfin, j'ai trouvé une ambiance conviviale, avec une vie sur l'eau et à terre. Un esprit de fair play, peu de réclamation, de l'entre aide et du partage.

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Pascal Tétard

Membre depuis 2013 - CV Bordeeaux

Avec une expérience de plus de 55 ans de monocoques en double et en solitaire (Yole OK, Moth, Finn, 420, 470, 505, Soling, Dragon, Requin), un passage au bataillon de Joinville et deux préparations olympiques (Soling et 470), j’étais très loin du catamaran. Puis en vacances en 2013 sur le bassin d’Arcachon, un ami m’a fait essayer son Class A. En seulement 1h30 de navigation « Je suis tombé en amour » et trois mois après, alors que j’étais en 2012 vice-champion de France et champion du monde grand grand master, j’avais vendu mon Finn pour acheter un class A. Depuis je suis encore plus accro à ce bateau aux performances contre le vent extraordinaires et au portant comme une luge. Malgré mes bientôt 70 ans, je m’éclate (avec ou sans vol) et j’espère en profiter encore de nombreuses années.

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Guillaume De Premorel

Membre depuis 2011 - CNBPP

J'ai commencé le classe A en 2011. Curieux de pouvoir faire du trapèze sur un catamaran solitaire dans des vent faible, j'ai acheté mon premier classe A. J'ai été chaleureusement accueillit par les classiste à La Baule. Entre-aide et conseils m'ont permis de progresser rapidement. Même état d'esprit lors des différents déplacements en régate. Même si pas au niveau des plus expérimentés, les régates se font aussi entre bateaux de même génération.

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Marc Torres

Membre de puis 2013 - YC Mauguio Carnon

J’ai commencé la voile en solitaire sur un hobbie Cat 14 et j’y reviens en Classe A Pendant des années de ma lointaine jeunesse, j’ai un peu navigué sur plusieurs bateaux principalement des catamarans, je régatais avec mon fils puis les choses ont fait que ça devenait difficile d’avoir un équipier donc j’ai laissé la voile pour faire autre chose. Quand on a aimé, on reste toujours intéressé aussi j’y suis revenu après avoir vu des copains qui naviguaient sur des bateaux très légers facile à manipuler, ça m’a plu j’ai donc acheté le vieux flyer de Jo puis j’ai continué jusqu’à avoir un Dna presque volant, mais ce que j’aime dans ce bateau c’est la facilité avant tout, les performances et surtout on peut bricoler. Maintenant il ne reste plus qu’à essayer d’être bon! :-)

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Christophe Espagnon

Membre depuis 2012 - Professionnel du mutlicoque

Le Classe A me permet de retrouver des sensations de barre que l'on trouve sur peu de cata. Finesse, rapidité, équilibre. C'est aussi un moyen de travailler ma gestuelle car le bateau est très sensible du fait de son faible poids et de sa finesse de barre. Les évolutions du bateau avec le vol sont en rapport avec les nouvelles technologies de fabrication mais aussi dans le sens des pratiques futures et ceci me semble une bonne chose pour l'avenir. Les pratiquants ont la chance de pouvoir faire évoluer leur Classe avec leurs bateaux, c'est l'essence même du Class A à mon avis. Je vole sur d'autres bateaux mais mon espoir pour cette année est de pourvoir voler en Classe A. Malgré ces évolutions et ma pratique sur d'autres supports plus rapide, je prends toujours du plaisir sur mon Class A non volant.

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Glenn Ashby

11 titres de champion du monde Classe A - Australie

The A class catamaran is in my opinion, the nicest single handed catamaran in the world today. It has helped me learn, and become a better sailor of other boats and has taught me many valuable lessons and skills. I encourage any one who has not sailed and A class catamaran to do so. It's one of life's simple pleasures

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Sarah Westerfeld

Membre depuis 2014 - ACA Lorraine

Mes débuts en catamaran de Classe A ont commencé à la base nautique de Plobsheim (Alsace), durant l’été 2010. Je naviguais à ce moment là, en Hobie Cat 14 depuis un certain temps mais aussi en Alado 18. Mon père, Raymond Westerfeld (surnommé « l’Amiral » pour sa collection de bateaux), venait de rejoindre le rang des « classistes » auprès d’André Casanova. Je les ai vu planer, au près, avec ce petit bijou et l’appel fut irrésistible ! J’ai réceptionné mon père au ponton et je lui ai « volé » son Bimare, parce qu’au final, l’essayer c’était l’adopter ! Je ne lui ai donc plus jamais rendu et je navigue à ce jour, encore avec. Par la suite, mon frère, Benjamin Westerfeld, moniteur de voile, a suivi le mouvement. Nous naviguons donc tous les 3, en famille, l’un sur un Bimare, l’autre sur un XJ et le dernier sur un Boyer ; tous des dérives droites en somme. J’ai appris de manière quasi autodidacte, en pratiquant, en observant les autres, en dessalant de nombreuses fois aussi ; au début, il faut bien tester ses limites ! Mais j’ai également eu la chance d’entendre de précieux conseils donnés par les autres « classistes » que j’ai rencontrés lors de stages ou de quelques régates. Finalement, qu’on ait un Classe A à dérives droites, courbes ou à foils, au final, on est tous de la même famille, peu importe l’âge, le sexe, on aime se retrouver tous sur l’eau, pour se tirer la bourre, planer, voler, en ayant seul, la maîtrise de son catamaran. En effet, naviguer en solitaire sur ce catamaran ultra léger et hyper réactif, c’est juste que du plaisir ! Les sensations sont au rendez-vous, on plane au près comme au portant ; même par petit temps, il carbure. On apprend beaucoup aussi, parce qu’il ne s’agit pas d’un rapport de force avec le bateau, mais d’une question de doigté, autant avec la barre qu’avec les réglages. Il faut dire que pour un poids léger comme moi, en manque de coéquipier pour naviguer en 18, la solution était toute trouvée. Je ne dépends, à présent, plus de personne, on part avec la famille, les copains, les bateaux sur les remorques, le camping-car devant et on va naviguer où bon nous semble. Pour l’instant, le Classe A volant n’est pas d’actualité en ce qui me concerne et ce, pour les mêmes raisons qui m’empêchent de faire beaucoup de régates ou de stages de perfectionnement : le manque de temps expliqué par mes contraintes professionnelles. Mais cela ne saurait tarder ! Je m’éclate toujours autant avec mon « vieux » Bimare, « l’ancêtre » comme se plait à l’appeler mon frère et pourtant, je reste encore redoutable par petit temps ! Enfin, quand je parle du Classe A à mes ami(e)s, « voileux » ou non, j’ai tendance à le comparer au Kitesurf, parce qu’il s’agit seulement d’envie, l’envie de se lancer dans l’aventure. Bien sûre, en bon terrien qui se respecte, ça paraît toujours impressionnant comme ça, mais la combinaison est la même pour les deux : légèreté, réactivité, vitesse. En conclusion, on devrait voir autant de femmes en Classe A qu’en Kite, alors lancez-vous les filles !!

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Emmanuel Dodé

Membre depuis 2015 - SR Vannes

Ayant eu la chance d'être né près de la mer et d'avoir fait certains de mes premiers pas sur le bateau de mon Père, un First 30, j'ai depuis toujours les yeux tourné vers l'océan. Adolescent, avec un Dart 18, cadeau d'anniversaire offert par mon Père, j'étanche ma soif de catamaran en Baie de Quiberon. Le virus de la compétition présent depuis toujours m'amène à participer à des régates internationales. Et même de gagner, bien entouré, l'Européen en 2006, le Mondial en 2008 et 2009, et d'être vice-champion du Monde en 2010. Adepte du catamaran de sport en double, en 2015 je décide de me lancer en Class A, afin de poursuivre avec autant d'implication un projet sportif de haut niveau, en conservant mon autonomie et ma liberté de fonctionnement. Le Class A représente le support idéal pour assouvir ma soif de compétition ainsi que pour procurer des sensations nouvelles et grisantes en voile. En Class A, vous avez la possibilité de vous amuser simplement, tout autant que de croiser le fer avec de véritables légendes de la voile (Glenn Ashby, Darren Bundock...). A chacun sa pratique et son plaisir entre les bateaux modernes et les anciennes versions. Le Class A est un support d'une finesse remarquable assorti d'une mise en oeuvre assez simple. L'ambiance dans la classe en mer comme à terre est très agréable. Soyez les bienvenus pour nous rejoindre en Class A.

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Denis Brendel

Membre depuis 1997 - YC Toulon

Plus de vingt ans d’aventure… Je me suis mis au Classe A en 1997 après quelques années en 18ft (en Tropic GTI pour les anciens). Je venais d’une pratique du dériveur en solitaire sur un lac alpin. Comme tous, je recherchais un support qui m’apportait une autonomie pour la navigation et à terre, et des sensations de barre qui me rappelaient mon expérience en dériveur. Au départ, je n’ai pas bien compris ce que pouvait signifier une classe à développement. En plus vingt ans de pratique, j’en suis à mon cinquième Classe A et que d’évolution…et maintenant je sais que le principe d’une classe à développement est la garantie d’un plaisir sans cesse renouvelé, d’un challenge pour la maîtrise technique et un esprit de performance toujours à la recherche du progrès. Ces plus de vingt ans sont l’occasion de grandes rencontres avec des pratiquants de tous âges, de divers horizons et d’un esprit de communauté. Bien sûr des débats sur l’évolution des appendices ont complexifié l’approche de ce sport, mais l’esprit reste et les manifestations de quelques-uns ne sont que des épiphénomènes dont le temps relativisera l’ardeur. J’ai toujours ce plaisir que m’offre ce type de bateau. Je ne suis pas un athlète non plus, mais simplement un homme d’âge mûr qui aime jouer. Le Classe A est vraiment un support excitant dont l’évolution a démontré sa solidité, sa sureté et sa simplicité de conduite. Je profite de mon témoignage pour exprimer ma conviction que les évolutions soit en « classique », soit en « open » permettent à ces deux pratiques de jouer ensemble équitablement et que ce sont deux choix stratégiques en fonction des capacités d’engagement physique du barreur, de son niveau d’entraînement et de polyvalence des conditions météorologiques. Un cata léger, rapide, sensible voilà ce que propose le Classe A pour tout pratiquant homme, femme, jeune et moins jeune. Bon vent à tous.

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Bertrand Arhan

Membre depuis 2017 - USAM Voile Brest

Cela fait un an que je pratique le Class A . J'ai navigué du laser au FX en passant via les 16& 18 pieds depuis de nombreuses années . Le Class A regroupe l'ensemble des sensations qu'on pu m'apporter ces différentes séries . Une finesse de barre , un bateau agréable dans les petits airs et procurant un grand plaisir dans la brise. De plus l'association AFCCA rassemble l'ensemble des passionnés dans un état d'esprit agréable et conviviale. Le Class A est un support moderne qui suit les avancées de la voile moderne et par conséquence qui oblige à progresser : pourquoi pas "voler " d'ici quelques années comme les initiés . Bref du plaisir à naviguer

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Alban Dalibard

Membre depuis 2015 - CN Perrros Guirec

La vieillesse de mon fidèle Hobie Cat 16 ainsi qu’une activité professionnelle à l’étranger m’ont écarté pendant plus de dix ans de la voile. C’est après cette longue période que je me suis décidé à remonter sur un catamaran de sport et à m’intéresser pour la première fois à la régate. De par le dynamisme de la classe et la liberté de pouvoir naviguer sans contraintes, mon dévolu s’est jeté assez rapidement sur un classe A et plus particulièrement sur un Bimare V1R, idéal pour commencer. Ma première sortie reste inoubliable. Je n’avais jamais imaginé qu’il était possible d’atteindre une telle vitesse avec de si fortes accélérations sur un 18 pieds. Sa légèreté et sa vivacité lui permettent de glisser avec le moindre souffle de vent. C’est maintenant avec une grande impatience que j’attends chaque navigation.

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